Des Agneaux et des chevreaux

« « Nous sommes envahis par des mots, expressions ou termes superlatifs. Nous avons des mégasoldes, des super ou hypermarchés, des ‘mégastores’. Nous employons, par exemple, des expressions telles que ‘super-cool… génial… trop bon… ». En parcourant l’Epitre aux Hébreux, j’ai été frappée par les superlatifs employés. Quelques uns se rapportent à Dieu, à l’alliance, au salut. Nous pouvons lire que Dieu est dans les lieux très hauts… Jésus est le médiateur d’une alliance plus excellente… Nous avons un si grand salut, etc.

J’aimerais m’attarder sur ces superlatifs qui portent notre Seigneur Jésus au-dessus de tout. Il est d’autant supérieur aux anges, digne d’une gloire supérieure à celle de Moïse. Il est grand souverain sacrificateur, il a présenté avec de grands cris et avec larmes des prières et des supplications. Il est le grand berger.

Tous ces termes expriment une qualité à un très haut degré. Puissions-nous méditer sur ces mots qui valorisent la personne et l’œuvre de notre Seigneur. » (Brigitte Sutherland, Méditations Quotidiennes)

« Le plus souvent, l’imbécillité se caractérise par :

1) des paroles insensées, détachées de la réalité des choses ;

2) un dénombrement incomplet des éléments à prendre en compte ;

3) une interprétation des événements faite à travers une grille de lecture fausse ou simplement humaine ;

4) l’adoption de slogans et clichés véhiculés par la philosophie (ou la religion) du moment, le peuple ou les partis politiques ;

5) la tentative de s’imposer aux autres afin de les dominer et les embrigader.

Les athées de ce type ne sont probablement pas plus nombreux de nos jours que dans le passé ; mais ils ont, en grande partie, retiré leur masque et les oripaux derrière lesquels ils se travestissaient pour apparaître plus respectables et plus fréquentables. A visage découvert, on les reconnaît plus aisément.

La foi est d’une autre nature. D’une part, elle dénonce le danger ; d’autre part, elle affirme haut et fort sa nature et ses convictions. Job et l’auteur du Psaume 14, avec de nombreux autres témoins, sont de cette qualité et restent pour nous des points de repère. Rejoignons-les pour témoigner à notre tour de la réalité des choses de Dieu et de la foi en Christ. » (Yvan Dussart, Méditations Quatidiennes)

Ces deux méditations introduisent bien le sujet qui ‘anime’ particulièrement mon esprit depuis plusieurs semaines, après avoir édité l’étude ‘Une Epouse pour un Epoux’. Les ‘superlatifs’ bibliques qualifiant notre merveilleux et unique Sauveur-Médiateur en dehors de qui il est impossible d’entrer dans le ‘Salut divin’ qui n’aura pas de fin témoignent du niveau auquel les ‘Disciples de Iéshoua’ sont appelés : " Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté ; mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu'il est " (1Jean 3.2),

Si...

Si nous nous laissons interpellés par la Parole et nous y conformons avec l’assistance du Sauveur lui-même qui souffle son ‘Souffle’ sur nous. Laissons-le souffler son ‘Souffle’ en nous ! Laissons le Souffle nous pénétrer ; laissons la Lumière prénétrer nos ténèbres et les dissiper.

Disciples de Iéshoua, entendons-nous la ‘voix’ des évènements divers, spirituels et naturels, humains et matériels qui se manifestent de par toute cette terre sur laquelle nous vivons encore comme ‘voyageurs et étrangers’ ?

Sommes-nous conscients que le Seigneur est à l’œuvre non seulement pour encore attirer à lui, mais aussi déjà dans un service plus avancé ? Tel est le thème de cette étude !

" Cieux ! Prêtez l'oreille, et je parlerai ; Terre ! Écoute les paroles de ma bouche " (Dt.32.1)." " Terre, terre, terre, Écoute la parole de hwhy, IHWH (l'Éternel) ! " (Jé.22.29)

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